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un journaliste qui honore sa mission

David Pujadas, on s'est moqué de sa petite taille et de son manque d'envergure.
Certains-es se sont surtout moqué de lui quand il a quitté TF1 pour Antenne 2, Ces railleries 
venues de collègues sûrement jaloux de ses choix peuvent à ce jour l'être encore et continuer 

ce sport national français du dégommage en ligne.
Pour nous, il a toujours été un homme sérieux, voire un peu trop, mais c'est sa marque de

fabrique, alors David, Media Corsica salue ton travail de journaliste.
Pour info : il est né à Barcelone, en 1964, d’un père traducteur et d’une mère interprète, il a suivit ses études en France, à l’Institut d’études politiques de Paris et à la faculté d’Aix-en-Provence avant de s'orienter vers le journalisme. 

Sa brouille avec Nicolas Sarkozy, survenue en 2016, lors d'un débat télévisé pour la primaire à droite nous le fait devenir sympathique. L'ancien président de la République n'avait pas apprécié une question de David Pujadas évoquant les révélations de Mediapart sur le financement libyen de sa campagne de 2007. Depuis, "il est resté fâché", a révélé le journaliste. une formule restée célèbre, le fameux "Quelle indignité !" reprise par nombre de chansonniers à rebndu célèbre Nicolas Sarkozy, qui avait exprimé ainsi son choc face à la question du journaliste de France 2. Depuis cette entrevue, David Pujadas raconte à Eric Dussart que Nicolas Sarkozy est resté persuadé que "cette séquence lui a fait perdre la primaire de la droite". Un regret pour le journaliste qui a pourtant essayé de le contacter depuis. Mais sans succès.
Entre "petit de taille" ils auraient pu se comprendre... Notre ancien président a la dent dure... J'espère qu'il appréciera mon petit texte...
                                                                                                                                                                             Elena

Il nous a paru intéressant de mettre en évidence cet article de LCI, à vous de juger...
N'hésitez pas à nous écrire pour manifester votre sentiment...

InfoEquitable @InfoEquitable

Après tant d’autres slogans vidés de leur sens (« génocide », « apartheid »…), on assiste ces derniers jours à des allégations de « #famine » à #Gaza. Certains médias les diffusent complaisamment; @24hPujadas fait honneur au #journalisme en #analysant les faits avant de les présenter. 10:30 PM · 18 mars 2024·

David Pujadas provoque des remous en démontant sur LCI, preuves à l’appui, les rumeurs de « famine » à Gaza avancées par certaines agences de l’ONU et des personnalités françaises –

C’est une séquence d’un peu plus de 6 minutes qui a été diffusée hier soir sur la chaîne info LCI et elle provoque des remous sur les réseaux sociaux. Dans une enquête réalisée pour l’émission de David Pujadas, le journaliste de la chaîne Quentin Bérichel et la rédaction ont tenté de découvrir si il existait vraiment une famine à Gaza comme le disent certaines agences de l’ONU et plusieurs personnalités.

Pour cela plusieurs images ont été analysées puisqu’elle sont utilisées pour prouver la famine qui sévit à Gaza. Des images chocs puisqu’on peut y voir deux enfants mourir de faim.

Selon Quentin Bérichel « Ces 2 enfants qui ont la peau sur les os, seraient en réalité des cas particulier car atteint de maladies génétiques et donc ayant besoin d’un régime alimentaire très particulier. Les journalistes américains le confirment. Un de ses enfants aurait une maladie du cerveau et une paralysie »

Pour la 2e image le garçon est atteint de mucoviscidose et lui aussi avait besoin d’un régime alimentaire très particulier.

LCI a ensuite analysé des images de marché dans la ville de Rafa avec des étales biens fournis avec des fruits et légumes et des boites de conserves, bien éloignés de la notion de « famine » qui est évoquée par certains.

Selon Quentin Bérichel, ces images ont été recoupées et semblent bien réelles et tournées il y a seulement quelques jours. « Cela ne signifie pas que c’est le cas dans tous les marchés, dans toutes les villes » précise le journaliste de LCI mais il semble bien que certains marchés soient en revanche riche en nourriture, y compris en produits frais. On serait donc loin de la famine qui a été évoquée par certains.

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